Et donc c'est une chouette journée de Bonne bonnebonnebonnebonne humeur ce matin. Et c'est trrrrrrrrrrrrrrrès détendu qu'il prend contact avec les habitants de cette trrrrrrès belle et trrrrrrrrrrès accueillante planète ou tout n'est que ruines, atmosphère glaciale, destruction et ouragans systématiques.

 

        Les autochtones sont charmants (une secte de jardiniers survivalistes). Ils trouvent que le capitaine est trop cool comme tout et l'invitent donc à venir habiter dans leur abri indestructible. C'est là qu'ils cultivent eux-mêmes tout ce qu'ils mangent et tout ce qu'ils fument aussi. L'usage de diverses substances calmantes et euphorisantes est fortement recommandé pour arriver à survivre sur cette planète totalement dévastée et toute pourrie. Pour être sûr qu'ici c'est l'enfer, il semblerait qu'une créature (ex-extra-terrestre) rôde à l'extérieur, (une espèce d'araignée scintillante marchant sur des chaussures à semelles compensées). C'est pourquoi les jardins des survivalistes sont profondément enterrés et protégés par ce que la secte des jardiniers appelle des murs de berlin (Le berlin est un matériau qui ressemble beaucoup au béton).

 

      "J'ai découvert que cette planète détruite est en fait ...la Terre !!! En me baladant entre deux ouragans, je pense avoir aperçu la Statue de la Liberté à moitié enterrée sous une épaisse couche de poussière d'étoile, j'ai cru apercevoir quelques singes aussi. Ici les murs sont épais. Ils sont là depuis longtemps, ils sont si grands, trop grands. Ils ont été bâtis pour protéger. Ils entourent les jardins, ils entourent la liberté. L'Humanité n'a pas toujours été enfermée dans ces cavernes aux murs d'acier et de berlin (le berlin est un matériau qui ressemble vraiment beaucoup au béton quand même...). Je dois revenir vers le passé, retrouver mes souvenirs. Les archives du Shelter me fourniront peut être le moyen d'aller plus loin".

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         Le Capitaine s'enfonce au cœur de la Terre à la recherche d'un centre de recherche où il pourra chercher à se recentrer sur ses recherches. Ou le contraire de l'inverse... bref un endroit.

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