Tin Can
Ejecté dans sa boîte de conserve le capitaine dérive dans l'espace en écoutant de vieilles K7 audio (c'est tout ce qu'il a pu emporté lors de sa fuite) et tente de mémoriser les paroles en se racontant des histoires... et puis, agacé par le dysfonctionnement du magnétophone, (on dirait un chat rouillé qui miaule) il se met en sommeil prolongé pour ce qui pourrait être... l'éternité...
"A mon réveil penser à faire réviser le capsule-radio (comme un auto radio mais dans une capsule spatiale) car il couine en début de bande."
Damage Report
Quand soudain...(à vrai dire quelques millions d'années plus tard à peu de chose près, mais pour lui ça fait pas 5 minutes qu'il a commencé sa sieste), les signaux d'alarme de la capsule le réveillent. Enfin tentent de le réveiller ! Et ce n'est pas une mince affaire. Cela fait si longtemps qu'il est en stase qu'à coté de lui La Belle au bois dormant passe pour une insomniaque. Après tout ce temps l'engin spatial est en bien piteux état mais il a quand même détecté une planète qui semble habitable. Et il tente à présent une entrée dans l'atmosphère. La capsule résistera-t-elle à cette ultime épreuve ? Les systèmes de survie tiendront-ils ? Le Capitaine abandonné pourra-t-il encore chanter ohé ohé ? La réponse est : Oui, sinon c'est bizarre comme fin.
Enter the Shelter
La capsule a résisté. Le Capitaine a survécu, même s'il est un peu fatigué, mais grâce aux drogues administrées par le système d'éveil il est de bonne humeur. De bonne, bonne, bonne humeur. Le «trans electrical stimulator» (système d'administration des drogues) devait être un petit peu déréglé, et puis calmer quelqu'un tout en le réveillant en urgence c'est pas super facile non plus.
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